Eurékà, je l’ai trouvé!! Mais si il existe encore des tabourets chez les chausseurs. Enfin j’en ai vu. Heyraud est mon héros! (voir les épisodes précédents)
Toujours à la recherche de la paire de souliers idéale pour mon mariage, pas le mien, je serais au courant, désespérée entre les prix démentiels, les escarpins qui font mal rien qu’à les regarder et la hauteur de talons idéale, j’arpente les magasins de pompes.
Samedi, je suis passée à Saint Germain où j’ai essayé une paire de sandales sympathiques, dorées, pas trop hautes, où les brides ne me cisaillaient pas la peau et de plus pas trop chères. Mais j’avais un doute alors j’ai continué sans trouver puis je suis allée au Printemps. J’avoue, j’aurais pu dénicher l’idéal (quoique, comme je connais mes pieds, ce n’est pas sûr) si je m’étais égarée dans le très haut de gamme. Mais je ne peux pas chausser plus haut que ma cheville alors mardi, redirection Heyraud mais boulevard de la Madeleine.
Je m’installe après avoir demandé ma taille dans plusieurs modèles. Celui, déjà essayé est de la dernière collection « mais nous l’avoir ». Ouf! La demoiselle revient et pousse devant elle le tabouret perdu. Le truc où on pose le pied pour enfiler plus facilement la chaussure et pour que le vendeur assis à votre hauteur puisse ajuster la bride, les lacets…je m’esclaffe, « mais ça existe encore, ça? » Mais bien sûr madame…
Pour résumer, j’ai trouvé mes sandales dorées, reste plus qu’à prier qu’il ne pleuve pas le jour J, sinon j’aurais rien à me mettre aux pieds!
merci aux demoiselles charmantes des deux magasins.